A modern gladiator with a heart of gold, Georges St‑Pierre overcame a difficult childhood to become one of the greatest mixed martial artists of all time. Growing up in the small town of Saint-Isidore, Quebec, Georges was relentlessly bullied at school by older classmates. Taking up Kyokushin karate when he was seven years old, martial arts helped Georges build confidence while challenging him to grow as a person and an athlete. Earning his black belt at the age of twelve, he learned to be humble in defeat while developing extraordinary resilience and strength. Georges didn’t know it yet, but these difficult experiences were laying the formidable groundwork that would empower him to become a global superstar in the fierce, exciting world of mixed martial arts (MMA).
An intense combination of wrestling, jiu-jitsu and kick boxing, MMA is among the fastest growing and most-watched sports in the world today. Georges first glimpsed this phenomenon as a teenager in 1993, when he rented a video of an Ultimate Fighting Championship (UFC) tournament and was struck by Brazilian fighter Royce Gracie’s ability to defeat larger opponents with a searing combination of skill and speed. Armed with a new dream of forging his own path to the UFC one day, Georges participated in his first amateur MMA fight at the age of sixteen and won by submission. After high school Georges found himself working in sanitation and taking jobs as a doorman in nightclubs to keep training in pursuit of his goal. In 2002 he debuted as a professional fighter with the Universal Combat Challenge (UCC) and just two years later took fate in hand when he entered the Octagon at UFC 46 in Las Vegas.
A technically brilliant fighter known for his razor-sharp focus, discipline, and lightning speed, Georges achieved an unprecedented career record of 26-2 as a UFC fighter, claiming his first Welterweight Championship in 2006. Aptly nicknamed “Rush”, he set a torrent of UFC records over the course of his career, including most wins in title fights (13), most wins by decision (12), most takedowns (90), most wins in welterweight title fights (12), most successful consecutive welterweight title defenses (9), and most wins in the UFC welterweight division (19). Taking a hiatus in 2013 to prioritize his mental health, Georges returned to the UFC in 2017 and claimed the Middleweight Championship without missing a beat, becoming only the fourth multi-division champion in the organization’s history. Retiring from Mixed Martial Arts in 2019, Georges has remained candid about his childhood struggles and the adversity he overcame to succeed in the often brutal world of combat sports.
Passionate about helping young people, he has continued to draw on personal experience as an inspirational speaker and advocate for mental health awareness, supporting anti-bullying initiatives and promoting youth sports through his charity, the Georges St‑Pierre Foundation.
Un gladiateur moderne au cœur d’or, Georges St‑Pierre a surmonté une enfance difficile pour devenir l’un des plus grands artistes martiaux mixtes de tous les temps. Grandissant dans la petite ville de Saint-Isidore, au Québec, Georges était implacablement victime d’intimidation à l’école par des camarades plus âgés. À l’âge de sept ans, il commence à pratiquer le karaté Kyokushin. Les arts martiaux l’aident à gagner en confiance tout en le poussant à grandir en tant que personne et athlète. Il obtient sa ceinture noire à l’âge de douze ans, et apprend à rester humble dans la défaite tout en développant une résilience extraordinaire et une force incroyable. À l’époque, Georges ignore que ces expériences difficiles posent les bases qui l’habiliteront à devenir une superstar mondiale dans le monde redoutable et passionnant des arts martiaux mixtes (MMA).
Le MMA, qui combine de façon unique la lutte, le jiu-jitsu et le kick boxing, est aujourd’hui l’un des sports à la croissance la plus rapide et aussi l’un des sports les plus regardés dans le monde. Georges a eu un premier aperçu de ce phénomène en 1993, alors qu’adolescent, il a loué une vidéo d’un tournoi de l’Ultimate Fighting Championship (UFC). Il a été frappé par la capacité du combattant brésilien Royce Gracie à vaincre des adversaires plus grands que lui en combinant adroitement compétence et vitesse. Armé d’un nouveau rêve de forger un jour son propre chemin vers l’UFC, Georges a participé à son premier combat amateur de MMA à l’âge de seize ans et a remporté la victoire par soumission. Après l’école secondaire, Georges s’est retrouvé à travailler dans le domaine de l’assainissement et à occuper des emplois de portier dans les boîtes de nuit pour continuer à s’entraîner dans le but de réaliser son objectif. En 2002, il a fait ses débuts en tant que combattant professionnel avec l’Universal Combat Challenge (UCC), et seulement deux ans plus tard, il a pris son destin en main en entrant dans l’Octogone lors de l’UFC 46 à Las Vegas.
Combattant techniquement brillant, connu pour sa concentration tranchante, sa discipline et sa vitesse fulgurante, Georges a atteint un record de carrière sans précédent de 26-2 en tant que combattant de l’UFC, remportant son premier championnat des poids mi-moyen en 2006. Surnommé à juste titre « Rush », il a établi une série de records de l’UFC tout au long de sa carrière, dont le plus grand nombre de victoires en combats de championnat (13), le plus grand nombre de victoires par décision (12), le plus grand nombre de prises (90), le plus grand nombre de victoires en combats de championnat des poids mi-moyen (12), le plus grand nombre de titres défendus dans la catégorie des poids mi-moyen (9) et le plus grand nombre de victoires dans la catégorie des poids mi-moyen de l’UFC (19). Après avoir pris une pause en 2013 pour donner la priorité à sa santé mentale, Georges est revenu à l’UFC en 2017 et a remporté le championnat des poids moyens sans manquer un battement, devenant ainsi le quatrième champion multi-divisionnel de l’histoire de l’organisation. Il a pris sa retraite de la compétition en arts martiaux mixtes en 2019. Depuis, Georges continue de parler franchement et ouvertement des difficultés de son enfance et de l’adversité qu’il a surmontée pour réussir dans le monde souvent brutal des sports de combat.
Passionné par la mission d’aider les jeunes, il continue à parler de son expérience personnelle en tant que conférencier inspirant et promoteur de la sensibilisation à la santé mentale. Il soutient des initiatives anti-intimidation et encourage les jeunes à faire du sport grâce à sa fondation, la Fondation Georges St‑Pierre.